Description du Projet

Présentation du projet

La nouvelle centrale se compose :

Une turbine à gaz de classe F de 255MW,
Une chaudière à récupération de chaleur,
Une turbine à vapeur de 135 MW,
Des tours de refroidissement,
Une station de pompage d’eau de réfrigération située dans la lagune,
Les équipements auxiliaires associés,
Les bâtiments administratifs et de maintenance,
Une citée d’habitation pour les exploitants

Soucieux de réduire son impact environnemental, ATINKOU sera également équipé d’un parc de plus de 2000 panneaux solaires de dernière génération d’une puissance installée de 860 kW. Ces panneaux couvriront les divers bâtiments de la centrale.
La centrale fonctionnera en base, fournissant 2,875 TW par an sur le réseau 400 kV en cours de construction et qui va à terme ceinturer l’agglomération d’Abidjan.

Localisation du projet

La centrale électrique sera située près du village de Taboth, dans la préfecture de Jacqueville, à environ 800 mètres au sud de la lagune Ebrié et à environ 30 km à l’ouest d’Abidjan.

Composante principale du projet

En parallèle de la construction de la centrale, l’Etat assure la construction des ouvrages associés que sont l’alimentation en gaz et la ligne de transport électrique.

Composante 1

Construction de la centrale électrique, de la route d’accès adapté aux charges lourdes, de la conduite d’eau de réfrigération et un quai de déchargement en bord de lagune.

Composante 2

Construction par l’Etat d’un poste électrique sur le site de la centrale et d’une ligne de transport électrique de 400kV rejoignant le poste d’Akoupé-Zeudji.

Composante 3

Construction par l’Etat de l’alimentation en gaz consistant en une augmentation et une extension du réseau existant et une station de traitement du gaz localisée sur le site de la centrale.

Partenaires du projet

Impact de COVID 19

La COVID 19 a provoqué un ralentissement du projet durant l’année 2020. Les restrictions de déplacement et le télétravail des différents protagonistes du projet ont entraîné un retard de 2 à 3 mois sur l’Ordre de Service. Depuis octobre 2020, aucun retard supplémentaire dû à la COVID-19 n’est à signaler.